Vert Santé

La Santé par les plantes

La vie que nous menons est-elle équilibrée ?

Mélisse officinale

Mélisse officinale est cultivée pour son huile essentielle, qu’on mélange parfois avec celle du citronnier ou de l’oranger.

Vivons-nous en harmonie avec la nature qui nous entoure et dont nous avons besoin ? non. C’est seulement dans le véritable respect de la nature, c’est à dire grâce à une connaissance approfondie et sérieuse des plantes médicinales, d’une part, et du corps humain, de l’autre, que les plantes rendront les services qu’on est en droit d’en attendre.

Ces propos n’empêchent pas une dernière constatation d’évidence : la nature est belle. On s’en convaincra en admirant les centaines de dessins, véritables oeuvres d’art, qui font vivre les pages des livres.

Avant de recourir à ces plantes, observons-nous les trêves nécessaires à l’organisme pour réparer ses forces ? Avons-nous reconnu les répercussions qu’entraîne une vie malsaine sur les grandes fonctions de notre corps en faisant preuve de cette sagesse antique qui considérait la santé comme un capital inestimable et irremplaçable.

La sage réflexion de Juvénal: « Mens sana in corpore sano » ( « Une âme saine dans un corps sain » ), est devenu de nos jours plus qu’une maxime, c’est une nécessité absolue.

C’est à ce moment là que nous relevons que « le mental se répercute sur le physique », ainsi, pour mieux vivre, habituons-nous à prendre des précautions qui relèvent davantage de l’hygiène que de la médecine proprement dite.

Il faut bien se nourrir pour réparer l’usure de notre corps. Ces cellules, dont la ronde sans fin s’accomplit sans que nous en ayons conscience, sont fabriquées à partir des aliments que nous fournissons à notre organisme qui les utilise pour réparer nos cellules usées, pour assurer nos fonctions de base (respiration, digestion, élimination), pour nous permettre également de nous dépenser physiquement, l’alimentation nous fournissant une énergie calorique. Même lorsque nous dormons, nous brûlons des calories. Il faut s’alimenter chaque jour pour faire face aux dépenses que nous fournissons, sans entamer nos réserves.

[hygiène de vie, 1974] 

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