Vert Santé

La Santé par les plantes

Les plantes ne sont pas dangereuses

oignon
 

Les plantes que nous utilisons comme traitement ne présentent pas le danger de fausser les réactions futures de l’organisme, même si elles ont été prises en trop grandes quantités…

Par contre les médicaments prescrits par le médecin à des doses ordonnées, le patient ne voit pas toujours arriver les résultats qu’il attendait et ayant sous la main le flacon du médicament prescrit, il en augmente de lui même la dose, doublant ou même souvent triplant la quantité qu’il lui fallait. Il va de soi que cela ne peut qu’être préjudiciable à la santé présente et, encore plus, à la santé future, car le prochain traitement du patient sera totalement faussé par les réponses que fournira son corps au médicament, ses réactions ne seront plus normales.

La grippe était soignée, il y a très peu de temps, d’une manière très simple. Le malade s’allongeait pour lui instaurer une diète, d’une durée de vingt-quatre à quarante-huit heures tout en lui prescrivant certaines essences aromatiques. Ainsi, le thym, l’eucalyptus, le citron, la cannelle, administrés par voie buccale ou par frictions de la poitrine, avaient raison de cette grippe en quelques jours seulement.

Mais qu’en est-il aujourd’hui avec les antibiotiques,
et comment agisssent-ils ?

Il existe de très nombreux antibiotiques répartis en différentes familles. Ils sont très efficaces contre les infections bactériennes, mais n’ont aucun effet sur les infections virales. Certains de ces médicaments inhibent la multiplication des bactéries. Ils sont alors dits bactériostatiques. D’autres sont capables de les détruire, et ils sont alors dits bactéricides. Comme nous l’avons vu, les antibiotiques ne doivent pas être administrés en cas d’infection virale. Inutiles dans ce cas, ils risquent au contraire de favoriser l’apparition de résistances bactériennes à ces traitements. Enfin toujours dans le but d’éviter le développement de résistances bactériennes, la durée de traitement prescrite doit impérativement être respectée. Même lorsque la fièvre et les symptômes ont disparu avant son terme, celui-ci doit être poursuivi.

Donc, Non seulement ils sont inutiles (travaux officiels récents), mais le malade, au sortir de son traitement, sera abattu, faible. Tandis qu’avec une thérapeutique par les plantes, la guérison se fera tout à fait normalement et le rétablissement complet interviendra au bout d’un laps de temps très court.

Voici un exemple : l’oignon

Il a fallut attendre des siècles pour apprendre que le suc de l’oignon se comportait comme un antibiotique et pour connaître certains de ses constituants, tels le fer, le soufre, l’iode, la silice, les sels de potasse, les phosphates, les nitrates, ce qui nous renseigne de façon très précise sur ses modalités d’action. On sait pourquoi il se révèle si précieux contre le diabète et pourquoi il efface radicalement la douleur d’une piqûre de guêpe. L’oignon est utilisé empiriquement depuis la plus haute Antiquité et se révèle, à l’analyse scientifique, tout comme de très nombreuses plantes (nous y reviendrons dans nos prochains articles sur les applications pratiques de l’oignon).

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