Il ne faut cependant, ne pas oublier les feuilles et surtout la fleur d'oranger qui occupait une double place dans les foyers de la IIIe République.
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L'oranger a toujours eu pour moi la séduction des fruits de la fête: on n'en mangeait guère qu'à Noël, dans les campagnes, et le beau fruit mûri au soleil de l'Espagne, du Maroc ou de l'Italie a toujours été associé dans mon esprit aux cadeaux, aux chocolats, au papillotes, à la joie, et aux rires d'anges des enfants comblés... à la joie, et aux rires d'anges des enfants comblés ...
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