Voici la liste des différentes variétés de la famille des liliacées :
Description | Vivace, résistant au froid, hauteur 30 cm à 60cm environ, bulbe sphérique, feuilles assez fines. Fleurs rouge rosé ou d’un violet soutenu disposées en ombrelles. |
---|---|
Situation | Plein soleil, en lisières de forêts, dans les prés humides, le long des routes et sentiers, sur les terrains rocailleux. Floraison en général d’ avril à août, selon la variété. Parfois les prés et les bords des cours d’eau, en terrains montagnards ombragés |
Récolte | Arrachez les bulbes lorsque leur leur feuillage a jauni, par temps sec. Laissez-les sécher en place toute la journée |
Conservation | suspendez les têtes dans un cellier aéré à une température d’environ 4°C. Vous pouvez aussi conserver des gousses dans un endroit sec et sombre à température ambiante, mais pas très longtemps, sinon elles sèchent et tombent en poussière. |
Utilisé en cuisine à l’égal de l’ail des ours et de l’ail cultivé. D’un gout prononcé que l’ail cultivé, l’ail des ours est consommé pour ses feuilles et son bulbe qui relèvent délicatement potages, sauces et salades. Quant à l’ail doré, il est d’un goût semblable à celui de l’ail cultivé et d’un parfum aussi fort.
Si chacun connaît la puissance généreuse du bulbe d’ail, moins nombreux sont, en revanche, ceux qui utilisent les feuilles pour personnaliser potages, sauces et salades.
A noter que l’échalote fait également partie de la famille des aulx et des oignons. Les botanistes n’ayant jamais pu identifier la plante à l’état sauvage. Tout laisse à penser qu’elle n’est rien d’autre qu’une variété tardive d’oignon.
L’oignon lui appartient à la même famille que celle de l’ail [ lire l’article ] Ces deux condiments-aliments étaient d’ailleurs souvent associés dans les « menus » quotidiens des hommes de l’Antiquité qui les cultivaient déjà 4 000 ans avant notre ère.
D’un parfum piquant et saveur prononce dûs à la présence d’allicine [ essence sulfurée à action antiseptique, principe actif spécifique de la plante dont l’élimination se fait par la peau et les muqueuses ].
En analysant un bulbe d’ail sec, il fait apparaître les différentes substances et les éléments nutritifs suivants [ valeurs moyennes pour 100 gr ].
C’est ainsi que l’ail s’inscrit naturellement dans le grand catalogue des plantes médicinales en raison des nombreuses propriétés qui lui sont reconnues. Il s’impose ainsi, comme:
Grâce à ses multiples propriétés intrinsèques, il doit être toujours présent, soit comme simple condiment, soit comme véritable remède, seul ou allié avec d’autres plantes susceptibles de potentialiser les effets bénéfiques recherchés.
[via] vertsante
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.